Pourquoi nos États démocratiques espionnent-ils leurs propres citoyens? Quelle est l’étendue de cette industrie de la collecte de données? Et si en choisissant entre liberté et « sécurité », on en venait à perdre les deux? L’équipe du Grain de sable discutera de toutes ces questions cette semaine. Une entrevue avec Mathieu Gauthier-Pilote, de l’association FACIL, pour l’appropriation collective de l’informatique libre, nous permettra de mieux comprendre la situation canadienne, avec la loi C-51 et les accords de libre-échange (le PTP et de l’AÉCG).
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Liens supplémentaires :
- Estimations du budget du renseignement états-unien, sur le site GlobalSecurity.org, pour l’année 2010.
- Entrevue de Thomas Drake, ancien employé de la NSA, à The Real News. On y apprend la réaction de la NSA suite à leur incapacité à prévenir les attentats du 11 septembre :
And [Maureen Baginski, the signals intelligence director’s,] explanation is that 9/11 was a gift to NSA. And then she said, we will get all the money we want and then some.
- Les incohérences d’Obama expliquées dans un article d’Alternet. L’actuel président maintient le système d’espionnage des citoyens bâti par le gouvernement qui l’a précédé.
- Des méthodes de collecte de données qui protègent la vie privée des citoyens sont mentionnées dans cet article Why Theoretical Computer Scientists Aren’t Worried About Privacy.
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